mercredi 24 mars 2010

-DALF thème 2-

Les nouvelles technologies au service de l'enseignement.
Reportage en japonais sur le collège de Goussainville :

samedi 20 mars 2010

-Marketing Pizza-

Interview audio de Mme Mélanie Gigon, directrice marketing de Domino's Pizza
Audio
notion- Franchise/franchiseur/franchisé

lundi 15 mars 2010

-Travail de compréhension et résumé-

Travail à effectuer pour le cours de Business.
Faire un résumé du document audio suivant (extraire les informations importantes et les résumer en quelques lignes):
Interview de Virginie Seghers

vendredi 12 mars 2010

-Smartphones 2-

Cours de ce samedi sur les Smartphones.


samedi 6 mars 2010

-Sauvetage de la Grèce-

Interview de Jacques Cailloux sur la crise en Grèce.
ici

-Les énergies non-conventionnelles-

Audio sur les énergies non-conventionnelles (pétrole et gaz)
ici

jeudi 4 mars 2010

-Pour comprendre le problème grec-

Petite infographie avec une explication sonore ici:
http://medias.lemonde.fr/mmpub/edt/flash/20100303/1313917_d214_infog_dettegrece.swf

-Tokyo et ses armes de distractions massives-

En 1978, un certain Motoichi “Atoss” Takemoto, originaire de la ville de Matsudo, au Japon, tentait d’introduire en France les œuvres d’Osamu Tezuka, de Takao Saitô, de Fujio Akazuka ou de Shôtarô Ishinomori, en lançant un magazine baptisé Le Cri qui tue. L’expérience ne dura que six numéros, la France n’était visiblement pas prête. Takemoto ne se doutait pas que, trois décennies plus tard, son travail de pionnier se traduirait par une présence massive du manga dans le secteur de la bande dessinée. Actuellement, il représente près de 50 % du marché français, et la plupart des éditeurs français, y compris les grands représentants de la BD franco-belge, disposent de collections de mangas. On peut dresser le même constat pour les jeux vidéo ou les films d’animation, dont Hayao Miyazaki est le chef de file incontesté. Le cinéma japonais retrouve aussi grâce dans les festivals internationaux, tandis que la littérature est bien plus traduite qu’auparavant.

Cette omniprésence de la culture pop japonaise dans notre quotidien constitue une sorte de victoire pour le Japon, dont les assises économiques ont été fortement ébranlées au lendemain de l’éclatement de la bulle financière, dans les années 1990. Mais, dans ce pays où l’impermanence est inscrite dans la pensée collective, on ne s’arrête pas devant le succès des produits culturels : on scrute déjà l’avenir en quête d’un modèle de croissance plus tranquille, fondé notamment sur des valeurs de solidarité qui, au cours des folles années de croissance à deux chiffres, avaient fini par disparaître. Le Japon n’a sans doute pas fini de nous étonner et, peut-être, de nous influencer.

(petit article de Courrier International)